Quand je considère le polygone de ton visage
Je perds mon centre de gravité
L’acide de tes charmes avait attaqué le métal fragile de mon cœur
Tu es le cosinus de mes soupirs
Le sinus de mes rêves
La tangente de mes pensées
La racine carrée de mon cœur
La probabilité de mon avenir
L’équation résolue de mes maux
La somme de tous me souhaits
L’intégrale de mon bien-être
L’infini de ma vie
Quand je pense à toi, je n’envie plus les dieux !
Mathématiquement à toi.
Albert 17/01/2014